Ce mardi 27 mars, comme tous les mois, Radio Parleur le son de toutes les luttes vous donnai rendez-vous de 20h à 21h sur les ondes de Radio Campus Paris. Que pouvait-on évoquer d’autre que la bataille du service public qui s’est engagée entre le gouvernement et l’union des cheminots, fonctionnaires et manifestants solidaires. Tout ça c’est sur le 93.9FM et ici-même sur Radio Parleur.
Le podcast en intégralité est à écouter par ici !
L’invité de La Mensuelle :
Bruno Poncet, membre du bureau fédéral SUD-rail.
Jeudi dernier, cheminots, membres de la fonction publique et manifestants solidaires ont défilé un peu partout en France pour protester contre les réformes lancées par le gouvernement d’Edouard Philippe. Plus de 500 000 manifestants en France selon la CGT, 323 000 selon la police, quel que soit le chiffre retenu, ce 22 mars restera comme la première mobilisation d’ampleur depuis le début de quinquennat Macron et le déclenchement de l’avalanche de réformes dans tous les domaines. A partir du 3 Avril, les cheminots montent au créneau pour 3 mois de grèves par intermittence 2 jours sur 5 de travail. Une stratégie inédite dans l’histoire des mouvements sociaux hexagonaux. Alors que peut-on dire de ce choix ? Quels enjeux détermineront la réussite ou non du mouvement à venir ? La journée du 22 mars a t-elle lancé une dynamique suffisante pour inquiéter le gouvernement ? On voit ça dans la Mensuelle de 20h à 21h sur le 93.9 FM.
– Nous serons aussi au coeur du procès de l’affaire « Tarnac » dont la décision est attendue le 12 Avril prochain.
– En fin d’émission nous retrouverons un militant de Montpellier victime de violences, la semaine dernière, lors de l’attaque d’étudiants par des hommes masqués armés de bâton de bois au cours de l’occupation de la faculté de droit de la ville. Le doyen de la faculté est accusé d’avoir ouvert la porte aux agresseurs, il a depuis démissionné et la situation reste tendue à Montpellier.
Présentation : Violette Voldoire. Co-animation et interview : Prisca Da Costa et Romane Salahun. Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond. Production : Martin Bodrero.
